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Je suis absurde…

Oui, absurde de ne pas avoir imaginé que vous pouviez être en congés… car, je ne pense pas que c’est votre genre de ne pas répondre. Alors… autant pour moi.

 

Je m’embrume dans le labyrinthe de mes pensées et du trouble que vous m’avez causé.

Si je pense à vous… c’est que je suis perdu dans la pénombre de mes doutes… que je suis à la dérive dans mes recherches du bonheur, du vrai, du beau, du bon, du pur, du sincère, de la vérité, et du naturel.

Mais je refuse de m’arrêter de vivre parce que je n’ai plus 20 ans.

Il y a longtemps déjà… des rides ont gagné mon front et mes joues. Le temps et l’espoir se sont enfuis, et je me suis égaré dans ce temps. C’est la terrible marque dite du « temps » qui passe et qui vous rappelle à l’ordre !

On dit pourtant que certaines vies sont liées à travers le temps.

 

Si je pense à vous…  c’est que les années tombent et défilent sans aucune pitié sur nous tous… et que je veux profiter des choses les plus vraies et les plus simples… Profiter de certaines personnes qui ont une belle âme (avec en plus… de beaux yeux et un beau sourire).

Je veux m’enrichir et m’abreuver de ces énergies-là.

Je n’ai pas fini de grandir et d’apprendre.

A-t-on encore le droit aujourd’hui de vouloir être libre ?... D’avancer, de penser et de vivre libre ?

Espoir d’une autre vie… le merveilleux de l’utopie… où tout espoir s’enfuit. Je vis à travers mes rêves. Bloqué par mon destin.

Les années tombent à la vitesse de la lumière entre vous et moi… mais, sont-elles des raisons valables pour se tourner le dos, de ne pas s’avouer… et surtout, de ne pas s’écouter ?

L’être humain ne peut vivre que s’il y a transmission, partage, échange, communication, sincérité, dialogue, et amour.

Tiens oui… Amitié… Amour... où en sont les limites ?... C’est la grande question que tout le monde se pose depuis des millénaires !

Personnellement, je ne veux même pas le savoir. Je veux vivre sans contraintes mes envies et mes délires au présent… c’est tout !